A l’automne 2022, Pierre Baldini, trésorier de l’association, poète, ami, amoureux, facilite une rencontre entre la Markiz’ et Guilhem Toll et Hélène Mengual.
De cet évènement naît le désir d’une mise en espace collective. La Markiz’ offre un point de départ : le code morse et le poème “Solitude” de Théophile Gautier. Issu du recueil du XIXe siècle “Poésies libertines”, La Markiz’ a transcrit ce texte en morse, il y a de ça plusieurs années, sur un drap ancestral.
Le cheminement de la production plastique s’engage sur plusieurs mois. Parfois ensemble, davantage séparément.
La veille de l’exposition, après quelques heures d’ajustements, les résultats de nos réalisations respectives jaillissent en 1 tout sensible.
Dans le temps de l’exposition, la curiosité de Guilhem permet à Hélène de déplier minutieusement l’intention de son écho plastique. Une co-élaboration fleurie, advient, déborde.
La nature de l’accueil assumée par La Markiz’ et Pierre B. s’éprouve, se savoure, infuse. Chacun.e ressort réjoui.e, partageant le potentiel d’une suite.
De retour chez lui, Guilhem partage le fruit des échanges avec Tiana Leymarie proche photographe. Tiana choisit d’embarquer pour la suite.
